Vivre, c’est devoir escalader.
Voici où sont les bonnes prises.
Ces liens que je vous propose, entre des milliers d’auteurs,de chercheurs, c’est 30 années de travail, et je continue jour après jour à analyser, décortiquer, lire.
Pour que cela devienne des évidences pour (presque) chacun d’entre vous.
Comme je le disais il y a quelques temps, je réalise une anthropologie philosophique pratique. Comprendre, relier, pour mieux agir et aimer. Le corps, celui que l’on muscle, c’est le siège du réel, de la vie, donc cela n’étonnera que les étonnés de remarquer que je place l’activité physique comme l’un des socles de la vie bonne. Comment ressentir l’amour de soi, de son corps, des autres, de la vie?La pire des douleurs est une vie sans amour. Et le plus souvent, cela commence avant même la naissance, dans le ventre maternel.
Beaucoup préfèrent aussi continuer en aveugles, tant ils ont peur de la réalité, et m’accuseront volontiers de mettre trop de psychologie à leur portée, à leur sujet.
Dois-je pour autant cesser de produire pour ceux qui sont affamés de liens? Ceux qui y croient encore, qui ont encore un peu de foi, qui brille, telle une bougie trop fière pour s’éteindre à jamais, bien que vacillante, tout au fond d’eux.Sans amour, qu’est-ce qu’un week-end? Qu’est-ce qu’un lundi? Qu’est-ce que facebook?
La culture de la haine envahit ceux qui ressentent un vide immense et toujours croissant dans leur vie.
Si l’amour n’est pas pour eux, alors l’amour doit disparaître.
C’est fascinant de voir à quel point quelqu’un comme moi, qui parle constamment de lien, d’amour, de reconnexion à soi, aux autres, au monde, a pu et peut encore recevoir autant de coups, et surtout des coups bas.
Quand la solitude envahit quelqu’un au point où les ténèbres imposent une angoisse emplie de désespoir, alors il ne désire plus que disparaître en entraînant le soleil avec lui. Que le monde devienne aussi noir que son coeur.