Une méthode révolutionnaire?

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Les détracteurs de la méthode n’appliquent jamais à eux-mêmes leurs propres catégories. Ce qui fait qu’ils tournent perpétuellement en rond en se mordant la queue (et ça fait mal).

Dire par exemple que le succès de la méthode est simplement “marketing” car j’ai selon ces détracteurs seulement “démocratisé” la musculation, ce qui serait mon seul apport… c’est comme dire que personne ne savait ce qu’était la musculation avant que je n’arrive.

Alors? Schwarzenegger n’a rien fait pour la musculation? et Stallone, Van Damme, les catcheurs et l’UFC? N’ont-ils pas démocratisé la musculation?
Je ne suis pas le premier à avoir vendu des livres de musculation. Alors, faut-il dire que personne à part moi n’a su jusqu’ici “démocratiser” la musculation?
Mais qu’ont donc fait les autres auteurs?

Si un détracteur parvient à me dire que seul moi ai démocratisé la musculation, c’est que, finalement, la méthode est bel et bien révolutionnaire (car elle parvient à faire oublier ceux qui ont démocratisé la musculation avant moi, ou mieux encore, à les ringardiser, comme appartenant au passé, tout comme le royalisme paraît vieillot face à la démocratie).

N’est-ce pas contradictoire et problématique de dire en même temps que je n’ai rien apporté à la musculation tout en affirmant que mon seul apport est de l’avoir démocratisée, quand tant d’autres l’ont démocratisée avant moi?

En fait, j’ai voulu démocratiser la musculation intelligente. Et ça, c’était tout neuf… 😉
Je dois remercier mes détracteurs de l’avoir remarqué et d’appuyer aussi fortement sur cette “nouvelle” démocratisation de la musculation, autant par leurs médiocres analyses que par leurs comportements haineux compulsifs.

Notons aussi que dire que beaucoup de gens suivent un enseignement (la “démocratisation”) ne suffit à expliquer :
– ni le succès de cet enseignement;
– ni l’enseignement en lui-même.

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