UN PEU DE RECUL SUR L’ALIMENTATION, SUR L’AVENIR ET LE PASSÉ DE L’HOMME, ET SUR LA PLANÈTE

Publié le Laisser un commentaire
UN PEU DE RECUL SUR L’ALIMENTATION, SUR L’AVENIR ET LE PASSÉ DE L’HOMME, ET SUR LA PLANÈTE

Ci-dessous, en vrac, quelques informations à connaître, pour élaborer une réflexion pertinente.

Peut-on imaginer 10 milliards d’être humains consommant comme les occidentaux ?

Est-ce la viande qui peut détruire la planète ? Ou les industries polluantes dont raffolent les apôtres du veganisme ?

La consommation massive de végétaux, en oubliant comment fonctionne un écosystème non-humain, avec lequel interagissent des écosystèmes humains détruira la planète.

La viande, ce n’est pas que l’élevage industriel. Des animaux vivant en semi-liberté profitent autant à notre santé qu’à la nature.
Ce n’est pas la surconsommation de viande qui a créé le changement climatique et déséquilibré des écosystèmes, mais l’essor du capitalisme et des industries.

Les agriculteurs du 19° siècle (et avant), par exemple, mangeaient très peu de viande. Pour beaucoup, c’était une à deux fois par an, les jours de fêtes.

On ne mangeait pas des vaches élevées en batterie, car on en avait besoin pour le lait. On mangeait davantage du gibier, de la volaille, du porc.

Ma famille, dans les années 1950, des paysans pauvres comme la majorité, mangeait peu de viande.

Et, au 19° siècle, l’espérance de vie était de 37 ans. En 1920, elle était de 45 ans. L’accès aux protéines animales a été un facteur fondamental dans l’évolution de la santé et de l’espérance de vie des français.

A savoir que les protéines sont les outils du système immunitaire….

Il est donc à la fois possible et nécessaire de manger de la viande.

Possible, car on peut faire du boeuf de manière écologique et durable, ainsi que de la volaille, des lapins. Auxquels ajouter des poissons.

Nécessaire car on a besoin de protéines animales pour construire notre cerveau, pour vivre en bonne santé et longtemps. Nous en avons besoin pour développer nos muscles. Le capital musculaire est directement lié à notre capacité de survie en cas de choc important ou de maladies.

Et ces animaux font des déjections permettant de renouveler la terre de manière écologique, de produire plus longtemps et sainement grâce au système des couches chaudes, instaurant des cycles vertueux pour les humains autant que la “planète”.

Tout ceci est fort documenté, autant en biologie, anthropologie, agriculture et en écosystémique.

Laisser un commentaire