(toutes les impuissances)
La vision d’une femme, Deborah, qui a coécrit Vers une écologie de l’enfance avec moi. Deborah a apporté beaucoup de “rondeur” dans l’écriture, afin de faire passer les savoirs (et les outils) en touchant le lecteur au plus intime.
Nombreux sont ceux qui nous ont dit avoir senti des sanglots enfouis revenir à la surface. Ou avoir été bouleversés par la lecture.
Cette restauration progressive de la totalité émotionnelle est le signe d’un changement véritable. Changer en lisant, avant même d’appliquer les outils proposé dans le livre…
Il s’agit de provoquer une compréhension intime, afin d’appréhender totalement ce qui nous construit. en tant qu’individu (enfance), espèce et société.
Le sentiment d’impuissance, ou l’impuissance réelle, factuelle, c’est toujours le résultat d’une construction dysfonctionnelle. De l’individu, de ses relations, des autres.
Comment ne plus être impuissant? Comment ne plus être rendu impuissant par un environnement délétère?
“Dans notre livre, nous parlons de relations (jeux, rôles, MIO, caresses, intime), de normes de santé mentale et physique, et donc, de constructions humaines.
Nécessairement, nous relions le corps (la présence à soi, la zone de confort, l’effort juste, l’agressivité) avec une construction saine, celle qui permet le “ronronnement” de la mécanique.
Notre livre est enraciné dans le réel, dans les relations. Pour apprendre à aller vers les autres, et à construire un intime.
Qu’est-ce que l’Homme ? Que puis-je espérer de mes relations, avec mon compagnon, avec mes enfants, de la vie ? Dans quelles directions puis-je me diriger, et comment éviter les cul-de-sacs ?
Le livre apporte des clés pour comprendre, à des échelles différentes (individu, espèce, société ; et leur évolution dans le temps), et mieux appréhender ces questions.
Il accroît notre pouvoir (marge de manœuvre) sur le monde, au quotidien.
Il apporte des solutions là où, par exemple, tant de gens se sentent impuissants, lorsqu’ils ne parviennent pas à aller vers l’autre (leur partenaire, leurs enfants); à prendre, donner et recevoir. “
Deborah Heynen
Illustration de Fabien Apffel
