Régulièrement on “affiche” des textes intelligents sur cette page. Analyses logiques, enseignements, assis sur une importante bibliographie.
Moins souvent, on “affiche” des imbécilités écrites par des crétins, toujours sur cette page.
Les imbécilités servent à confirmer les textes, à les éclairer, à montrer ce qui se passe quand on n’a ni culture ni vision complexe. Et qu’on souffre d’une mémoire traumatique impensée, et d’un fort besoin de dominance, impensé lui-aussi, qui dirigent notre vie, à notre insu, et vers le pire, pas le meilleur.
Elles permettent de mettre en évidence une hiérarchie de l’humain, en termes moraux, affectifs, intellectuels et culturels.
Chose que beaucoup ne veulent pas voir, à l’ère du “tout se vaut”, ère de nivellement par le bas et de mise à mort de l’humanisme.
Chose qui renvoie beaucoup de gens à leurs propres manques et bêtise.
Or, cette hiérarchie est nécessaire pour savoir où aller et enfin progresser.
Cela vous stimule pour avancer. Dans quelle catégorie voulez-vous finir? Hein?
Le culte de la performance n’est en aucun cas humanisant. Le culte de la force ne conduit pas à résoudre humainement les problèmes. On atteint vite les limites de ce culte. On en sait les effets, avec des milliers d’années de guerre et de souffrance.
Les relations, elles, peuvent se situer sur une échelle avec de nombreux degrés, du moins humanisé au plus humanisé. On peut progresser, on DOIT progresser. Il y a donc une hiérarchie par l’humanisme. Elle doit être évoquée, montrée, pour comprendre, pour guider.
Ce sont toujours ceux qui ne lisent/comprennent pas les textes, qui n’interviennent jamais pour les commenter, qui viennent nous demander des comptes sous les publications épinglant des crétins
En nous jugeant
En jugeant qu’il ne faut pas juger.
Mais comment faire progresser l’humain si on ne montre pas d’où il part et où il peut aller?
On peut toujours critiquer la hiérarchie proposée, en débattre (nous on est ok), mais il faut pour cela lire nos textes, et contre-argumenter, pas JUGER.
Bref, réfléchir, c’est difficile, comme dit Jung
Bientôt un texte sur l’humanisme.
Aimer son prochain, c’est désirer fortement qu’il cesse d’être con, méchant et paumé.
Pour son bien… et le nôtre.