Ses photos :
Après 2 mois de pratique, à chaud :
Après 3 mois, à froid :
Après 4 mois, à froid :
Après 5 mois, à froid :
Après 6 mois, à froid :
Son témoignage :
“Je m’appelle Bruziaux Loïc, Avn pour les gens qui me connaissent sur le forum. J’ai 25 ans, je mesure 1m95 et je fais entre 100 et 103 kilos. J’ai commencé le judo à l’âge de 4 ans et j’ai jamais arrêté depuis lors, j’ai fait beaucoup de compétitions. J’ai notamment fini 3ème cette année aux championnats de France 1ére division en plus de 100 kilos, j’ai aussi été plusieurs fois champion de France scolaire et remplaçant aux championnats du monde 2003 en moins de 100 kilos. J’ai été en équipe de France pendant 5 ans, je m’entraînais 5 à 6 heures par jour, ce qui combinait musculation et entrainement judo. Les entraînements étaient durs et usants, la musculation lourde et les étirements quasi absents. Bref pas vraiment le genre d’entrainement qui me convenait le mieux, j’étais devenu puissant mais lent, niveau judo j’étais souvent fatigué donc je tirais pas grand chose des entraînements.
Donc l’année dernière, j’ai décidé d’arrêter le haut niveau. J’ai même totalement arrêté le judo pendant 8 mois, par dégoût mais aussi manque d’envie, je m’amusais plus en montant sur le tatami. Je retournais de temps à autre faire un petit entrainement comme ça pour voir. J’ai remarqué au bout de 6 mois que mon arrêt me faisait du bien, j’oubliais toutes les choses négatives emmagasinées pendant 5 ans et je retrouvais mes sensations enfouies en moi, toutes les bases que j’avais appris depuis tout petit refaisaient surface petit à petit. Au bout de 8 mois j’étais satisfait de ce que je faisais et j’ai donc repris l’entrainement 3 semaines avant les championnats de France où j’ai fini 3ème sans réel entrainement, rien que sur l’envie. Le haut niveau ne convient pas à tout le monde, il faut réussir à faire la part des choses, connaître son corps pour adapter son entrainement. J’étais encore jeune et inexpérimenté quand j’ai commencé donc je faisais tout ce qu’on me disait sans réfléchir.
Au mois d’avril, la perte d’un très bon ami judoka très prometteur dans un accident de voiture a été comme un déclic pour moi. J’ai donc décidé de revenir dans ma catégorie d’origine, qui est les -100 kilos et j’ai commencé la méthode Lafay. J’avais déjà testé la méthode mais une blessure avait stoppé mon élan. J’ai trouvé ce livre en cherchant des exercices à faire sans appareils sur internet. Je sais que les japonais travaillent presque essentiellement en poids de corps et sont les meilleurs judokas du monde, ils sont très relâchés pendant les combats et peuvent déployer une puissance extraordinaire en un instant. Je pensais à l’époque que cela venait du travail en poids de corps. J’avais donc acheté le livre vert et rien qu’en le feuilletant j’ai su que c’était la chose qu’il me fallait depuis toutes ces années.
Quand j’ai donc entrepris mon régime il y a 6 mois et commencé la méthode, je pesais 117 kilos. J’ai vite progressé dans le niveau 2 pour finir à un mode 20 en fin de niveau, j’étais arrivé a 106 kilos. Je pouvais pas vraiment voir les progrès en judo car c’était déjà les vacances d’été et il n’y avait plus d’entraînements mais je continuais car je voyais des progrès physiques impressionnants et un bien être m’envahissait petit à petit. Il me manquait juste une chose : un plan alimentaire qui me convenait et dont je pouvais me fier. J’ai donc fait quelques recherches et je me suis mis à la chrono-nutrition, qui à mon sens est une méthode qui marche idéalement avec la méthode Lafay. En un mois de chrono-nutrition, j’ai vu des changements physiques similaires aux 4 mois que j’avais déjà fait sans. Tout cela m’amène au début de saison et la reprise de l’entrainement judo et là, tout s’éclaire.
Je me sens super bien, je prends un plaisir fou à faire du judo, ma vitesse est devenue incroyable, ma force est supérieure à celle que j’avais avec 15 kilos de plus mais là où je suis le plus surpris, c’est au niveau de l’endurance. Je peux enchaîner les combats sans être vraiment fatigué, je récupère en moins de 1 minute alors que je cours presque plus. Ma coordination est encore meilleure, ma souplesse meilleure que jamais, mes techniques plus affûtées alors que je les avais pas faites pendant 2 mois et le mental au top. Bref que du positif. Maintenant, j’attends avec impatience les premières compétitions de l’année qui devrait être dures car je change de catégorie et je vais devoir me réhabituer mais je suis confiant, la méthode m’a apporté ce mental et cette confiance en ma force.
Aujourd’hui mes objectifs sont assez simple: je veux tout. Je veux tout gagner mais surtout prendre la place de numéro 1 français dans ma catégorie, faire les championnats d’Europe et du monde mais surtout les J.O de Londres.”
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