ENSEIGNER LA DOUCEUR, ça demande de l’ordre.

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ENSEIGNER LA DOUCEUR, ça demande de l’ordre.

 
Ici, vous aurez de la douceur 🙂
Nous (LDMT et moi) ne vivons que pour cela : donner à tous des outils et une ambiance qui permettent de la vivre cette douceur, de se l’approprier et de s’installer en elle, avec elle.
 
Même si pour cela nous devons parfois être durs, mettre des barrières, afin de gérer les vélléités de personnes encore trop soumises à la lutte pour la dominance, et incapables de prende du recul et voir les limites.
Comme le disait Paul Watzlawick, pour avancer, il faut déjà mettre de l’ordre.
Pour faire advenir la douceur, et subvertir les hiérarchies en place qui font tant souffrir, il faut tout de même installer une hiérarchie
 
Pour créer de l’égalité, de la pensée, de l’amour, il est tout d’abord nécessaire de créer les conditions optimales pour un enseignement : un ordre, une souple rigueur, la proximité juste et la distance juste entre l’enseignant et les élèves.
 
Et parfois il faut aller au plus court, être rude et perturbant, afin de ne pas s’user en vaines paroles auprès de personnes encore inaptes à l’écoute, tant elles sont désireuses d’exister aux dépens des autres, tant elles sont impatientes de compenser égoïstement leurs souffrances, les peines d’une vie insensée.
Et, souvent, ces personnes veulent dominer, se valoriser, au nom de la bienveillance, nous reprochant même notre manque de bienveillance… tant l’esprit “Charlie” (dominer, écraser, en souriant sous couvert de tolérance) a nivelé les pensées.
 
Nous voyons arriver sur nos espaces des personnes absolument avides de douceur, mais qui sont encore de petits robots, totalement programmés par l’idéologie dominante, en recherche constante de valorisation, et sans aucun recul, sans l’aptitude à se poser la question suivante : “d’où je parle? D’où parlent les gestionnaires de cette page (en termes de connaissances, responsabilités, droits)?
 
Ces personnes veulent surtout imposer, prendre, en pensant donner, en le clamant même parfois. Elles ne savent prendre le temps de l’écoute et de la distance.
Et elles agissent en prédateurs irréfléchis, toujours au nom de l’amour, de la bienveillance, de la tolérance et de la liberté d’expression (preuves ultimes de leur soumission à l’idéologie dominante).
Ces personnes, bien dressées par les médias, ont même pour certaines lu ces livres de développement personnel à deux sous, ces “livres de bonnes femmes”, qui, le croient-elles, leur ont donné la sagesse et le recul nécessaires pour intervenir partout comme elles le veulent…
 
Evidemment face à nos exigences intellectuelles et comportementales, elles se retrouvent désemparées, car elles pensaient avoir des “droits” vu qu’elles avaient tout bien fait (comme on les a programmées). Et puis ailleurs, tout le monde s’en fout, tout le monde nie les autres, et cherche à s’imposer. Alors que chez nous, on aime assez les gens pour leur imposer… la réflexion.
Les déprogrammer est une rude tâche…
Et leur désarroi face à ces limites inacceptables qu’on ose leur mettre est tel que ces “bienveillantes” se montrent assez vite guerrières et méprisantes…
 
Pour nous préserver (hé oui, nous aussi nous devons nous préserver), nous allons ainsi parfois au plus court, mettant rudement de l’ordre, selon notre conception de ce que doit être un espace “opérationnel”, apte à vraiment communiquer les outils de la douceur.

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Nota : il va sans dire que même nos interventions en apparence les plus rudes respectent notre cahier des charges cybernétique; et que nous savons toujours quel effet nous voulons obtenir, et ce dans l’optique d’un accroissement général de douceur. Rien n’est jamais gratuit, tout est constamment pensé. Nos articles et vidéos sont éclairants à ce sujet.

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