+ 14 kgs pour Maxime

+ 14 kgs pour Maxime

Age : 21 ans
Pratiquant de Badminton en compétition.
1m72 et 81 kgs actuellement.
40 cm de tour de bras.
63 cm de tour de cuisse.
Gain de poids corporel : 14 kgs en 17 mois.

 

Avant de commencer la méthode (67 kgs en mai 2009) :

 

Un mois de méthode (68 kgs en octobre 2009) :

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Février 2010 (76.5 kgs) :

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Octobre 2010 (79 kgs) :

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Novembre 2010 :

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Avril 2011 (81 kgs) :

STAGE

 

J’ai toujours pratiqué énormément de sports, qu’il s’agisse de judo, football, handball, badminton ou encore boxe thaïlandaise.
Durant l’été 2009, je me suis décidé à m’essayer à la musculation, disposant de deux haltères et de 40 kgs de fonte. Ce fut un échec total. Non pas parce qu’il s’agissait de fonte, mais parce que, ignorant que j’étais, je m’entraînais 6 jours sur 7, sautais des repas et me couchais chaque nuit vers 4 heures du matin (merci World of Warcraft).

Arrivé en septembre 2009, j’avais perdu un kilo (67 kgs) : j’étais dépité. J’ai alors découvert l’existence du fameux bouquin vert dont tout le monde parlait sur musculation.com et l’ai aussitôt commandé. De par mon passé de sportif, j’ai pu réaliser une dizaine de dips au test de départ et j’ai donc commencé au niveau II.

Premier constat : l’idée de battre à chaque fois ses performances est pour moi une véritable source de motivation, chaque séance est une guerre mentale.
Deuxième constat : les kilos s’accumulent à une vitesse dingue, je prenais 3 kilos en l’espace de 3 semaines.

Je passe 15 séances au niveau II et finis sur un mode 16 à B1, alors que je ne pouvais faire qu’une dizaine de dips il y a un mois de cela.
Je découvre ensuite le niveau III, le principe d’évolution du deuxième exo et celui de se surélever (au départ très casse-gueule puis mes BD ont su se révéler utiles). Niveau IV, E2 sans se tenir mode 15, je commence à prendre conscience de la difficulté de la méthode et redoute chaque séance jambes.

J’enchaîne ensuite les niveaux V et VI, termine sur un mode 22 à K2 spé. Étant très bête à l’époque, je ne m’étais, en 69 séances, jamais résolu à faire de 70%, ayant l’impression de ne rien faire et culpabilisant. “No pain no gain”, voilà ce en quoi je croyais. Et la blessure arriva, je ne pouvais plus faire de dips à cause d’une douleur monstre au niveau de la clavicule. Abattu, déprimé, je me vois contraint de boucler les niveaux 2 3 4 en remplaçant les dips par A12. Pourquoi dois-je me retaper ces niveaux alors que les niveaux 7 8 etc me tendent les bras ? Et puis soudainement, je me rends compte que je réalise un mode 22 à B1, 13 à A12 et 25 à K2 spé. Même constat au niveau III et IV, les perfs s’envolent littéralement (M19 à B).

J’ai rebouclé de nombreuses fois les niveaux inférieurs avant de découvrir les joies des niveaux supérieurs et leur lot de souffrance, A9, K3 et les maxis.
La méthode marche, peu importe ce que certains disent. On m’invite en salle pour me tester au DC, les gens rient lorsque que je parle de la méthode, puis, en parfait touriste, je soulève 100 kgs sans grand problème.

Je termine le niveau IX épuisé, avec 58 dips et 44 tractions larges d’affilés, ce qui reste malheureusement très inférieurs aux perfs de modèles comme Charles ou Arnaud.

Je suis actuellement sur le niveau X, et je compte repartir sur un niveau VI “à ma sauce” et atteindre les 85 kgs secs.

En plus des 14 kgs de pris, cette méthode m’a appris ce qu’était l’enfer, comment savourer la douleur, se dépasser aussi bien mentalement que physiquement, mais surtout, m’a fait adopter un mode de vie sain.
Qui plus est, elle m’a ouvert les yeux quant aux notions de repos et de récupération, des notions qui font partie intégrante de notre entraînement et qui ne doivent pas être fuies !

La méthode Lafay marche, c’est un fait, et ce quoi qu’en disent ses détracteurs.

Merci à Olivier pour son dévouement et l’attention qu’il nous porte à nous, sportifs, mais également aux piliers de la méthode comme Charles, Arnaud, Boktai et j’en passe qui, malgré eux, me poussent à me surpasser afin d’espérer atteindre un jour leur physique.

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