Le public de la Méthode LAFAY

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Le public de la Méthode LAFAY

Article mis en images par Clément Galak 🙂

 

Un petit article qui parle de toi, public 🙂

2 catégories de visiteurs viennent sur cette page :

– les lecteurs;
– les non-lecteurs

Les LECTEURS lisent vraiment les articles. Ils les commentent parfois, en bien ou en mal. Leurs commentaires ont un rapport direct avec le contenu de l’article.
Certains mettent des “j’aime”, mais d’autres préfèrent ne pas se manifester sur une page de musculation, ou n’ont pas la culture du “j’aime”.
Je reçois beaucoup de mails/mp de personnes qui déclarent apprécier mon travail, qui me soutiennent, mais sans vouloir intervenir.
Souvent ce sont des adultes instruits, cultivés et ouverts à la différence.
 
Les NON-LECTEURS, qui ne s’intéressent pas aux articles, ont d’autres motivations pour intervenir. Ces non-lecteurs se subdivisent en 5 sous catégories :

– les ZAPPEURS. Ceux-là sont parfois gentils, mais pas toujours. Ils ne regardent que les images. Ils sont parfois méchants en disant que les athlètes en photos sont moches ou que la musculation est une activité stupide. Ils partent aussi vite qu’ils sont venus.

– les HAINEUX. Ceux-là viennent pour insulter, dénigrer, faire des amalgames. Ils sont inscrits sur la page juste pour être avertis de ce qui s’y passe et profitent de la moindre occasion pour insulter, déclarer que je suis anti-fonte ou autres billevesées.
Pour eux, je suis le mal et il faut me détruire.

– les TROLLS. Ce sont souvent des haineux, mais ce peut être des gens de passage, avertis par des copains ou copines, et qui n’ont aucune intention de débattre ou apprendre. Ils veulent seulement s’imposer et créer des polémiques. Là où ils se différencient du simple “haineux”, c’est qu’ils ne se contentent pas d’insultes, ils partent dans un délire pseudo-argumentatif, qui n’a rien à voir avec le contenu de l’article sous lequel ils interviennent.
Certains, plus instruits, viennent soutenir un copain trolleur, sans rien connaître de l’univers Lafay. Ils essaient de déstabiliser, par pur esprit de corps, mais sans fond véritable. Ils se concentrent sur des points de détails, qu’ils pensent maîtriser, et cherchent à faire s’écrouler l’ensemble (l’univers Lafay) en insistant sur ces détails périphériques. Leur investissement s’arrête généralement là, car débattre du fond demanderait un apprentissage de l’univers Lafay qu’ils n’ont point le temps et l’envie de réaliser.

– les PETITS JUGES. Ceux-là ne discutent jamais des articles. Cela ne les intéresse pas. Ils ne sont pas là pour ça. Ce qu’ils veulent, c’est juger ma supposée attitude, envers la fonte, envers certains commentateurs…. Ce qu’ils cherchent, c’est à se valoriser en me jugeant. Ce dont ils ont besoin, c’est de se poser en êtres supérieurs à celui qui écrit les articles et administre cette page.
Et, pour ce faire, ils dépensent beaucoup d’énergie à chercher des leviers; ils écrivent beaucoup, mais jamais au sujet des articles.
Ils ne sont pas là pour apprendre, mais pour m’apprendre…

Les petits juges ne lisent jamais les articles ou alors en diagonale. Ils ne les commentent jamais pour eux-mêmes (pour leur contenu). Quand un article est publié, c’est pour qu’il soit LU et discuté. Cela peut sembler évident, mais un petit juge ne comprend pas cela, il a besoin de passer outre la lecture afin d’imposer son jugement moral.
Et il ne supporte pas qu’on lui réponde, et qu’on lui montre les limites-mêmes de ses interventions.

– Les CONSOMMATEURS. Ces derniers considèrent que la page leur appartient. Ils ne veulent y voir que ce à quoi ils s’attendent. Ils n’aiment pas être surpris, perturbés; ils n’aiment pas qu’on leur propose d’apprendre quoi que ce soit qui puisse heurter leurs préjugés et leurs attentes.
Leur curiosité est proche du néant. Et ils s’insurgent dès qu’on risque de les faire réfléchir, dès qu’on leur propose d’élargir leur vision, de s’intéresser plus en profondeur à la page, aux interactions entre les gens, entre la Méthode et les gens.

La profondeur, ce n’est pas leur truc. Ils veulent jouir vite et sans effort; ils veulent se divertir avec du pré-mâché, consensuel, attendu. Ils ne sont pas là pour comprendre. Parmi eux, certains lisent les articles sous lesquels ils commentent, mais en diagonale, en cherchant de quoi s’insurger.
Les consommateurs s’expriment bruyamment, menacent de quitter la page et le font parfois. Pour eux, il est très important que tout le monde sache qu’ils se désinscrivent. En fait, ils se pensent très importants.

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