Efficience : une mécanique de va-et-vient permanent

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Efficience : une mécanique de va-et-vient permanent

La constitution de la notion d’Efficience dans le cadre de la méthodologie constructiviste propre à la Méthode Lafay n’est pas une pure affaire de représentation (de “philosophie”).
Cette vision nouvelle est corrélative d’une gamme de pratiques et de techniques qui font de l’efficience un objet sur lequel nous pouvons agir.

Autrement dit, l’Efficience n’est pas un concept philosophique “éthéré”, mais un ensemble de pratiques pouvant donner des résultats rapides, précis, prévisibles et mesurables… si bien utilisées.
Nous pouvons très facilement fabriquer (construire) l’Efficience en suivant les consignes données dans les livres et sur le blog.
Et ces consignes reposent sur des conceptions qui, une fois bien comprises, permettent d’optimiser encore la pratique (de préciser le choix et l’action des techniques), selon une mécanique de va-et-vient permanent (pratique/théorie/pratique/théorie/etc.).

 

Bases théoriques (le minimum à lire) :
1 – texte de base sur l’Efficience (cliquez ici );
2 – texte de base sur le No pain no gain ( cliquez ici );
3 – qu’est-ce que la gestion de l’effort dans la Méthode (cliquez ici ) ?
4 – Efficience : allons un peu plus loin (cliquez ici).

Bases pratiques et techniques (le minimum à lire) :
1 – gestion efficiente des trois premiers exercices (cliquez ici );
2 – Efficience et Boucle ( cliquez ici );
3 – Efficience et Mini Boucle (cliquez ici );
4 – Gestion de la performance (cliquez ici).

4 réflexions au sujet de « Efficience : une mécanique de va-et-vient permanent »

  1. Bonjour, je viens de lire les différents articles liés à l’Efficience et au base de la Méthode. Et je me suis fait un bilan de la compréhension de ces articles. J’aimerai savoir si ce bilan est juste ou non.

    Le principe de l’efficience est de faire peu pour gagner plus.

    Notre corps peut produire assez rapidement des performances (stagnation, objectifs de niveau, séries longues). Alors que au contraire, son temps de récupération et de développement est beaucoup plus lent. Il y a un décalage entre performances (élevés) et récupération (faible) de notre corps.
    On va alors “retarder” volontairement nos performances grâce notamment aux séances à 70%, aux boucles, mini-boucles, etc… Ceci afin d’ajuster et d’équilibrer au mieux le décalage entre performances et récupération. Ainsi, une fois la récupération au même niveau de nos performances, on est devenu plus fort, endurant, souple et développé physiquement.
    Si on effectue alors une séance à 100% de nos capacités on observera une augmentation net de nos performances (pour la deuxième fois). Et également un décalage avec la récupération. Ce second décalage sera perçu à un stade différent du premier décalage (observé en début de pratique de la méthode).
    On peut donc dire qu’il s’effectue un cycle. On s’appuie toujours sur les bases d’un palier inférieur pour accéder au palier supérieur.

    Pour conclure on peut dire que la progression durant la méthode est linéaire, mais que nos moyens pour y parvenir est cyclique.

    1. C’est pas mal 🙂
      C’est une façon plutôt réussie de présenter la Méthode.
      En pratique (et selon la théorie), c’est encore un peu plus complexe que cela. Mais tu n’es pas loin.

  2. Merci de votre réponse.
    J’ai essayé de simplifier un peu, je l’avoue, pour une meilleure compréhension.

  3. Vous savez il y a quelque chose qui est vraiment super chez vous tous, c’est même pas le côté muscu. C’est ce côté spirituel, qui invite a regarder en soi même, a voir autrement, à voir au dela. Et ça c’est vraiment original. Parce que oui , c’est vrai, lire Charles Poliquin etc… des grand pontes de l’entrainement comme Delavier, il n’ y a pas photo ce genre de types ont fais avancer le sport en général. Mais toi , toi Olivier Lafay, ce nom que je prononce au mois 3 fois par semaines depuis 6 ans, ce nom sur lequel je n’arrive pas a mettre de visage, tu nous fais avancer bien au dela et plus profondément. Efficience. Rien que ce mot, qui reste difficile a comprendre apres tant d’années, ce mot qui nous reserve tant de découverte sur soi même, c’est si original.
    Et il est une chose, le fait que l’on ne sache pas qui tu es, renforce d’autant plus cette quête intérieur qui ne nous arrete pas a ton corps, à ton image. Mais nous renvoi systématiquement à nous même, enfaite on ne peut que se renvoyer à nous même.
    Car pour te comprendre nous sommes forcés de nous cultiver, d’analyser, de réfléchir, puis d’agir, et enfin à travers notre réussite, nous te voyons toujours différement mais qu’invisible.
    Bonne année 2014 à tous, et Olivier encore bravo pour on travail, car même si ce n’est que le début, tu nous permet au moins le luxe à 22,33 euros, de voir les choses autrement et surtout plus paisiblement.

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